Un article de S. Henry Réant

POURQUOI L’HOMEOPATHIE EST UNE MÉDECINE SCIENTIFIQUE ET
EFFICACE REJETÉE PAR LES POUVOIRS PUBLICS

L’HOMÉOPATHIE, UNE MÉDECINE QUI A FAIT SES PREUVES

L’homéopathie est fondée en1810 avec la publication du livre « Organon der Heilkunst » de Samuel Hahnemann. Remarquant que les remèdes usuels à l’époque étaient extrêmement toxiques (arsenic, Belladone...) et avaient des effets secondaires redoutables entraînant souvent la mort, Samuel Hahnemann avait eu l’idée de diluer ces remèdes pour combattre les maladies dont les symptômes ressemblaient aux effets toxiques de ces mêmes remèdes. Il observa que, plus la substance était diluée, meilleur était le résultat. Son premier triomphe eut lieu durant l’été 1799. Il réussit non seulement à guérir les malades de la scarlatine avec des doses infinitésimales de Belladonna. mais également à éviter la contagion. Puis lors de l’épidémie de typhus qui ravagea l’Allemagne en 1813. Il ne perdit que 2 malades, l’un ayant refusé de suivre le régime, l’autre étant extrêmement âgé.
Toutefois, dès la naissance de l’homéopathie, la médecine officielle la combat âprement et les apothicaires intentent plusieurs procès à son créateur pour fabrication illégale de médicaments. Ses succès ne font que renforcer l’hostilité de ses confrères et multiplier les attaques à son encontre, le contraignant à mener une vie itinérante.

En 1824, par un des élèves enthousiastes d’Hahnemann(1) traduit son livre en français,

L’homéopathie eu de grands succès jusqu’à la fin des années 1940 pour traiter les épidémies mortelles pour lesquelles il n’existait pas de remède(2), notamment celle de typhus qui ravage toute l’Allemagne en 1813 ou celle de choléra de 1830-32 en Prusse et en Hongrie. Tandis que la mortalité était entre 50 et 80 % pour les patients des médecins allopathes, celle-ci se situait entre 5 et 8 % pour les personnes soignées par homéopathie.

En France, depuis 1967, la Sécurité Sociale prend en compte des traitements homéopathiques et le nombre des spécialités remboursées augmente progressivement jusqu’à la fin des années 1980.

1967 : c’est l’année où un médecin homéopathe m’a guérie de bronchites asthmatiformes qui me terrassaient 4 mois par an depuis 7 ans, malgré les bons soins de plusieurs médecins allopathes. Il y a eu l’avant, et l’après. La pratique quotidienne de cet homéopathe, qui enthousiasmait ses patients, ne suffit pas à convaincre les sceptiques de l’efficacité de sa thérapeutique. En effet, si ses patients sont heureux car guéris, les comptes rendus n’ont jamais été publiés, et il n’y a évidemment pas eu de groupe témoin prenant un placebo. Il aurait probablement été possible de comparer statistiquement ses résultats à ceux d’un confrère allopathe. Est-ce déontologiquement possible ? En effet comment faire la part des choses entre la compétence du praticien et l’efficacité du type de médecine ?
L’homéopathie est une médecine individualisée(3). C’est-à-dire qu’elle demande une attention personnalisée du médecin vis-à-vis de ses patients. Les causes de la maladie et l’environnement du patient sont pris en compte autant que les symptômes.
De nombreuses études(4-5-6-7) ont montré l’efficacité de médicaments homéopathiques bien choisis dans des pathologies comme, la diarrhée de l’enfant, la fibromyalgie, les rhinites allergiques, la grippe, les douleurs d’origines diverses, les effets secondaires des radio/chimiothérapies, les entorses, les infections des voies respiratoires supérieures, les états dépressifs... Bien sûr, certaines conclusions parlent d’effet placebo pour l’un ou l’autre remède spécifique dans une application tout aussi spécifique. Cela ne remet pas en cause l’homéopathie dans sa globalité, mais uniquement le choix des remèdes dans ces cas particuliers. De même que personne ne songerait à remettre en cause l’ensemble de la médecine classique sur la base de l’inefficacité d’un traitement non adapté prescrit par un de ses représentants.

L’homéopathie connaît également des succès dans le traitement de plantes(8) ou d’animaux(9).

Comment peut-on envisager un effet placebo dans ces cas ?

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L’HOMÉOPATHIE, UN FONCTIONNEMENT LONGTEMPS MYSTÉRIEUX

La médecine allopathique est basée sur une dose thérapeutique efficace de remède. Les effets secondaires sont considérés comme le prix à payer pour l’efficacité. Un tenant de cette médecine fait partie de cette majorité de biologistes qui a un point de vue basé sur la physique du 19ème siècle. Il ne peut pas concevoir que des médicaments qui ne contiennent aucune substance active, puissent avoir un effet.
Il considère que le fonctionnement biologique du corps, et en particulier la communication entre les cellules, se fait via des interactions physiques moléculaires au niveau des portes cellulaires appelées récepteurs ou canaux. Ces récepteurs, en capturant la petite molécule biologique qui est un signal, vont mettre en route un mécanisme cellulaire adapté à l’information donnée par la molécule signal. C’est le modèle « clef-serrure ».

Or l’homéopathie utilise comme remèdes des substances extrêmement diluées(10), dans lesquelles il ne reste généralement plus aucune des molécules actives d’origine, ce qui est incompatible avec ce modèle.

2012 - UN MODÈLE PHYSIQUE POUR L’HOMÉOPATHIE :

Jusqu’aux années1970, une porte s’ouvrait avec une clef physique, et un biologiste concevait le modèle clef-serrure à cette image.
Au début des années 1980 sont apparues les premières clefs électromagnétiques grand public pour les automobiles. Le concept de clef se dématérialise. Il devient plus facile de concevoir qu’un récepteur cellulaire qui active tel ou tel mécanisme interne, fonctionne de manière électromagnétique. Le signal émis par la molécule serait l’onde de matière associée(11). Il s’inscrirait électromagnétiquement dans le support
de dilution de la teinture mère, durant le processus de fabrication du remède homéopathique. Plus la dilution est importante, plus le signal deviendrait ciblé, et plus précis serait le remède.
Alors il devient évident qu’un remède homéopathique fonctionne.
Le modèle de physique quantique qui permet d’expliciter le fonctionnement de l’homéopathie(12) est né en 1988. L’évolution des concepts, et les expériences biologiques et physiques conduites depuis lors, ont permis au Pr Marc Henry de présenter, dès 2012, un modèle de fonctionnement de l’homéopathie dans différentes conférences et publications (13-14-15). Ce modèle explique à la fois l’action de l’homéopathie et beaucoup des incohérences des modèles de biologie « classique ».

Pour résumer : L’onde de matière associée à la substance médicamenteuse s’inscrit dans les domaines de cohérence(16) de l’eau créés par les succussions (violente agitation), lors de la fabrication du remède. Cette information agirait de façon électromagnétique pour pouvoir de modifier les régulations métaboliques via les récepteurs cellulaires, lors de la mise en contact du patient avec le remède
homéopathique.

Jusque dans les années 2012, le plus gros argument anti-homéopathie était l’absence de modèle physique. Pourquoi la naissance de celui-ci n’a-t-il pas suscité de l’engouement et une recherche fondamentale accrue dans les milieux scientifiques ? Pourquoi les attaques médiatiques contre l’homéopathie se sont-elles multipliées et sont-elles devenues si virulentes ?

LOBBYING ET MANIPULATIONS

« SCIENCE SANS CONSCIENCE N’EST QUE RUINE DE L’ÂME » F. RABELAIS

En France, tout commence en 2004 lorsque l’Académie Nationale de Médecine réclame le déremboursement total des produits homéopathiques, en raison des fortes dilutions, car « nos moyens d’investigation ne permettent plus la mise en évidence d’une seule molécule de la substance originelle »(17) .
Le ministre de la santé, Philippe Douste-Blazy, médecin lui-même, conscient que 40 % des Français utilisent cette thérapie, que 30 000 de ses confrères la prescrivent, en maintient le remboursement.

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Ses arguments : « la très faible part du budget de l’assurance maladie consacré aux
médicaments homéopathiques et les conséquences médico-sanitaires d’un déremboursement qui pousserait les patients à prendre autre chose, c’est-à-dire des médicaments peut-être remboursés à 100% avec des interactions médicamenteuses possibles »(18).
Pourquoi les membres de l’académie ont-ils lancé cet appel ? Probablement pour les mêmes raisons que celles qui ont fait du médiator, en 1976, un médicament anodin remboursé par la sécurité sociale. Celui-ci aurait du être interdit dès 1999 à cause de ses effets secondaires reconnus, mais ne l’a été qu’en 2009 suite à une alerte « musclée » faite par un médecin. Entre temps il aurait fait 1800 morts, et des milliers de malades cardiaques chroniques. L’enquête qui a suivi, a montré que tous les membres de
la Haute Autorité de Santé (HAS) qui décidaient du bien fondé de la mise sur le marché de l’une ou l’autre des « spécialités » chimiques était en conflit d’intérêts. Ils bénéficiaient de contrats de conseil très bien rémunérés auprès des laboratoires pharmaceutiques. La conséquence a été, en 2013, la publication par la HAS d’un guide des déclarations d’intérêts et de gestion des conflits d’intérêts. Depuis, ces derniers sont certes déclarés, mais n’empêchent aucunement les membres de siéger et prendre les décisions qui leur conviennent.
Puis en 2005, le journal « The Lancet » fait un scoop sur l’effet placebo de l’homéopathie avec la publication de la méta-étude de Shang A, and al19, commandité par l’autorité de santé suisse, dont l’objet est de comparer l’efficacité de l’homéopathie et de l’allopathie. Le principe de la méta-étude est de regrouper un ensemble d’études dont les résultats sont variables par rapport à une problématique donnée, afin de prendre une décision définitive et « scientifiquement valide » sur le sujet. Le choix des paramètres est crucial pour obtenir des résultats de bonne qualité. Matthias Egger, directeur du laboratoire le sait. C’est un spécialiste qui a largement expliqué comment orienter les résultats d’une méta-étude grâce au choix judicieux des études intégrées
(20-21).
Comme il s’agit d’une statistique, une étude en plus ou en moins, entrant dans le panel pris en compte, ne devrait pas en changer le résultat. Or dans cette méta-étude c’est une seule étude à fort poids statistique et la façon dont elle a été prise en compte qui ont fait pencher la balance(22). Cette étude qui montre qu’ Arnica 30CH23 n’a pas eu plus d’effet qu’un placebo sur la prévention de la raideur musculaire de 400 marathoniens, a permis à Shang A.et al de conclure à l’effet placebo de l’homéopathie.
Pourquoi ne pas dire plutôt qu’Arnica 30 CH n’est tout simplement pas adapté à ce qu’on a testé dans cette expérience précise ? Une autre étude(24), non retenue par Shang et all, sur le même thème, sur 82 marathoniens montre qu’effectivement Arnica 30CH ne prévient pas les lésions musculaires induites par la course lors d’un marathon, mais Arnica 30CH supprime très bien la douleur et la sensation de raideur liées aux courbatures. Il suffit de bien choisir l’effet testé pour orienter le résultat.
Shang et all se sont également appuyés sur l’absence de modèle physique pour l’homéopathie, pour conclure à la non-efficacité de l’homéopathie en tous lieux, tous temps et toutes circonstances. Le journal « The lancet » qui a publié ce travail en a fait son éditorial en sous entendant que les homéopathes étaient des charlatans. Cet article a eu un grand écho dans les presses nationales.
Cette publication ayant été largement décriée, en particulier par l’association des homéopathes Suisses, la haute autorité de santé suisse et la haute autorité de santé australienne, le NHMRC, ont commandité chacune une nouvelle méta-étude.

En 2011 G Borhöft et P. Matthiessen publient « le rapport Suisse »(25), de plus de 200 pages, qui confirme l’efficacité de l’homéopathie traditionnelle et explique clairement les modalités de l’efficacité des différents remèdes étudiés en fonction du contexte. Au niveau du grand public, le silence médiatique a été et reste total.

Du côté Australien, en début avril 2012, un premier rapport « A Systematic Review of the Evidence on the Effectiveness of Homeopathy’ » est soumis au bureau du NHMRC. L’expert qui a supervisé la démarche, le Professeur Fred Mendelsohn, confirme la grande qualité de la publication : « Je suis impressionné par la rigueur, la minutie et l’approche systématique appliquées à cette évaluation des études publiées sur l’efficacité et les effets secondaires de l’homéopathie. (…) Globalement, de
l’excellent travail a été fait dans ce rapport et les résultats sont présentés sans biais et d’une manière systématique et convaincante »(26).

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ET LA GUERRE CONTRE L’HOMÉOPATHIE REPREND DE PLUS BELLE…

Fin avril 2012 le NHMRC déclarait rejeter ce premier rapport parce « qu’il était de mauvaise qualité, ». Pourtant, celui qui l’a dirigé, est un scientifique réputé, non homéopathe et auteur des propres directives du NHMRC sur la façon de procéder à l’analyse des données(27). La réalité était que ce rapport, ne donnait pas les conclusions souhaitées par les commanditaires.

Le NHMRC prend donc des mesures énergiques. Le Professeur Fred Mendelsohn et son équipe sont démissionnés, le rapport mis au secret, et le NHMRC nomme pour les remplacer Peters Brook à la tête d’une nouvelle équipe. Celui-ci accepte le poste en « oubliant » de déclarer qu’il est actif dans une association « Friends of Science in Medicine » dont un des objectifs est la disparition de l’homéopathie, ce qui représente clairement un conflit d’intérêts. Pour mener à bien cette mission, les grands moyens sont employés. Sur 176 études choisies parmi 1800 susceptibles d’entrer dans cette méta-étude, des critères de qualités sont définis de façon à ce qu’il n’en reste que 5 dites « pertinentes ». L’ analyse est conduite avec une nouvelle méthodologie qui permet d’orienter les conclusions vers l’effet placebo de l’homéopathie(28). L’étude est publiée en mars 2015.
Une plainte, portée en 2016 par 3 associations australiennes pour conflit d’intérêt et biais dans l’étude, a été jugée recevable par le Commonwealth Ombudsman. Lors d’une audition en 2018, la NHMRC reconnaît avoir utilisé des méthodes non reconnues comme scientifiques pour cette étude(29).
L’analyse du rapport démontre, entre autres, que les biais sont volontaires et qu’ils ne résultent pas de simples erreurs de méthodologie scientifique. On peut donc parler de falsification. Toutefois, jusqu’à présent, la plainte n’a toujours pas débouché sur un jugement, et, malgré l’insistance des citoyens, la première étude n’a jamais été rendue publique (30).
Ce rapport australien de 2015, largement biaisé, va avoir des conséquences immenses. Il sera fortement médiatisé. Bien qu’étant une falsification, il servira de base à la Commission Européenne pour émettre des réserves sur l’homéopathie avec des propositions pour l’écarter des systèmes de santé. Le gouvernement français l’utilise également, pour justifier son projet de retrait du remboursement de l’homéopathie.
En parallèle, les crédits, français ou européens, pour financer tout projet susceptible d’approfondir la théorie scientifique qui sert de base à l’homéopathie, sont refusés.

QUAND L’ARGUMENT SCIENTIFIQUE DEVIENT LE MOYEN QUI JUSTIFIE LA FIN

Dans l’esprit du public, la Science et la méthode scientifique sont garantes de l’objectivité et de l’intégrité. Et les chercheurs payés par l’ensemble des citoyens via les états, sont réputés utiliser la meilleure connaissance du moment pour analyser des faits de façon impartiale et donner le meilleur avis possible, pour le bien de tous.
Au lieu de cela, nous avons vu agir des mercenaires falsifiant les résultats de leurs études pour réaliser la commande de donneurs d’ordres. Ces résultats qu’on sait être faux, sont pourtant employés dans une communication efficace visant à manipuler les décideurs et les populations.

Et les questions qui surgissent dans un esprit conscient sont : À qui profite le crime ? Qui se sent menacé par l’homéopathie au point de déployer tant d’énergie pour la détruire ??

Les budgets en jeu sont explicites , il suffit de regarder les comptes des remboursements de la Sécurité Sociale (chiffres connus de 2017) (31-32) :

  • Médicaments : totalité (hôpital +officine) 26,800 milliards d’euros,
  • Homéopathie 129,6 millions d’euros soit 0,5 % de la dépense.
    Le chiffre d’affaires qu’on peut attendre de l’homéopathie est peu intéressant. Il est probable d’ailleurs que si elle était prescrite en première instance, on observerait une réduction de 30 à 50 % du budget médicamenteux, du fait de son faible coût, et de son absence d’effet iatrogène (33).

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Il devient clair que des médicaments efficaces, peu chers et facile à produire sont une menace pour les 873 milliards de CA de l’industrie pharmaceutique mondiale, dont 54 milliards pour l’industrie française. Elle doit donc éliminer ses concurrents et discréditer ses produits pour survivre et continuer à prospérer.
Qui a les moyens d’acheter des études scientifiques, des journalistes pour prêcher la bonne parole et des décideurs politique pour éliminer une technique concurrente en passe de devenir très dangereuse commercialement parlant ?
Tandis que l’homéopathie est mise à l’écart dans l’Union Européenne, la Chine(34) et l’Inde, avec plus de 220 000 médecins homéopathes(35) approfondissent la connaissance pratique et fondamentale, certaines de pouvoir soigner leur nombreuse population grâce à cette médecine efficace, bon marché et sans effet secondaire.

DERNIER REBONDISSEMENT...

Le 27 août 2019, Pr Anne Kelso, directrice du NHMRC rend le premier rapport public. Il aura fallu plus de 7 ans pour que cet organisme accepte de publier ce rapport qui établit l’efficacité de l’homéopathie. Il est accessible sur internet depuis le 9 octobre 2019(36). Dans la plus grande discrétion, maintenant que le mal est fait, justice a finalement été rendue. Les presses nationales et européennes sont restées silencieuses. Fin septembre 2019, tandis que le gouvernement allemand maintient le
remboursement de l’homéopathie, le gouvernement français publie les arrêtés qui l’excluent du système de soins et début octobre l’Académie Française de Médecine supprime le titre d’homéopathe pour un médecin.
Nos experts médicaux au niveau du gouvernement et décideurs politiques auront-ils assez d’intégrité pour tenir compte des revirements du NHMCR, et revenir sur des décisions indignes d’une démocratie ?

POUR EN SAVOIR PLUS,

Les fondements le modèle du fonctionnement biologique quantique en général et de l’homéopathieen particulier sont enseignés en France dans le cadre de l’organisme de formation Aton-Atl (37).
L’enseignement comporte les bases de physique quantique et de biologie pour comprendre entre autres comment le corps fonctionne de façon électromagnétique, et comment les domaines de cohérence de l’eau, lors du processus de dilution-dynamisation, sont capables d’enregistrer et de ré-émettre les ondes
quantiques associées au remède .

Sylvie Henry Réant
Saverne le 30/10/2019

1 Hahnemann S (1824) « L’organon ou l’art de guérir »- traduction française de Erneste George de Brunnow, ed Arnold, Dresde.

2 M. Henry 2018 : « L’homéopathie la physique des hautes dilutions éditions » Natur’Eauquant - 1ère partie du livre sur la vie de Hahnemann et l’histoire de l’homéopathie.

3 La médecine individualisée s’oppose à la médecine de masse. Ex : Pour le mal le tête, le remède de masse jusque dans les années 1970 est l’aspirine du Rhône 500mg à 1g. Ensuite et jusqu’en1980-90 c’est « aspirine - vitamine C 500mg à 1g », puis, à cause de l’effet secondaire hémorragique de l’aspirine, le paracétamol de 500mg à 1g... A présent la grande nocivité vis à vis du foie du paracétamol est sur la place publique. Que prendre ? Car les autres antalgiques allopatiques sont aussi toxiques voire pires que le paracétamol .
Les seuls remèdes de masse sains contre le mal de tête seraient : aérer la pièce (le manque d’oxygène est une cause fréquente) et boire un ou deux verres d’eau( la déshydratation en est une autre).
Dans la médecine individuelle homéopathique, le médecin demande au patient : mal de tête ok. Quand ? :
Au réveil ? Avant le repas ? Après, ? Avec certains aliments ? Durant les règles ? Un jour spécifique ? Selon la météo ? Après une contrariété ? Quelle localisation ? Aux tempes ? Au front ? etc... et selon les réponses le remède sera différent. C’est individualisé.
L’homéopathie est sans effets secondaires néfastes. Et si le mal de tête est lié par exemple à un problème de foie, le remède choisi par médecin homéopathe soignera aussi le foie, et l’effet secondaire bénéfique sera une meilleure digestion !

4 Mathie, R. The research evidence base for homeopathy : a fresh assessment of the literature. Homeopathy 92, 84–91 (2003).

5 Pilkington, K., Kirkwood, G., Rampes, H., Fisher, P. & Richardson, J. Homeopathy for depression : a systematic review of the research evidence. Homeopathy 94, 153–163 (2005).

6 Linde, K. et al. Are the clinical effects of homoeopathy placebo effects ? A meta-analysis of placebocontrolled trials. The Lancet 350, 834–843 (1997).

7 Paolo Bellavite and Andrea Signorini, Homeopathy : A Frontier in Medical Science. Berkeley : North Atlantic, 1995.

8 par exemple : Christiane Maute « Homéopathie pour les plantes » Ed Narayana Ed française 2013

9 par exemple : Patrick Rouchossé (Dr Vétérinaire Homéopathe )- « Homéopathie et animaux » Ed Narayana 2017

10 L’homéopathie utilise comme remèdes des substances extrêmement diluées qui s’expriment avec le nom de la substance suivie d’un nombre de DH (dilution au dixième) ou de CH (dilution au centième). Par exemple Kalium Carbonicum 9CH signifie que le remède est du carbonate de potassium (KCO3) à 99 grammes par litre (= 1 mole par litre) qui a été dilué au centième 9 fois de suite dans de l’eau ou dans
un mélange eau/éthanol. Entre chaque dilution se place une opération, dite de dynamisation, qui consiste à secouer violemment le remède 100 fois.
La concentration de KCO3 dans le remède Kalium Carbonicum 9CH. est de 1018mole/l (ces 2 expressions sont équivalentes). La mole contient 6 1023 molécules environ. 1 millilitre de remède 9CH contiendrait donc environ 600 molécules, ce qui est très peu. En diluant encore 2 fois au centième (11CH) il restera dans le millilitre de remède soit une, soit aucune molécule. Et l’homéopathie utilise couramment desremèdes encore plus dilués comme 15CH ou 30CH les considérant comme « plus forts »

11 Dans le cadre de la physique quantique la théorie l’onde de matière associé à une particule (ou dualité onde particule) a été faite par Louis de Bloglie dans sa thèse en 1924.

12 Del Giudice, E., Preparata, G. & Vitiello, G. Water as a Free Electric Dipole Laser. Physical Review Letters 61, 1085–1088 (1988).

13 Bono, I., Del Giudice, E., Gamberale, L. & Henry, M. Emergence of the Coherent Structure of Liquid Water. Water 4, 510–532 (2012).

14 La publication précédente donne les fondements. Pour une expression plus facile : M. Henry 2016,« L’eau et la physique quantique » ed Dangle et M. Henry 2018 : « Homéopathie la physique des hautes dilutions éditions » Natur’Eauquant pages 81-126. ces 2 ouvrages contiennent de nombreuses références.

15 Marc Henry -2015 - « Musique et physique quantique » - Éditions Natur’Eauquant

16 Voir notes 12-13-14. Pour résumer : L’énergie contenue dans « le vide » permet à environ 100 000 molécules d’eau de former sur une surface (des nanobulles de gaz ou une protéine comme exemples) un domaine de cohérence. Ce domaine peut s’imaginer comme une molécule géante où 13 000 électrons sont mis en commun, et constituent un supra courant. Grâce aux niveaux d’énergie de ce supra courant,
l’information peut être enregistrée et ré-émise.

17 Communiqué de l’académie française de médecine - Séance du 29 juin 2004 - Faut-il continuer à rembourser les préparations homéopathiques ?

18 IndustriePharma 22/09/2004 Homéopathie : Le ministre de la Santé « contre le déremboursement de l’homéopathie » - https://www.industriepharma.fr/homeopathie-le-ministre-de-la-sante-contre-lederemboursement- de-l-homeopathie,19870

19 Shang, A. et al. Are the clinical effects of homoeopathy placebo effects ? Comparative study of placebocontrolled trials of homoeopathy and allopathy. 366, 8 (2005).

20 Egger, M. & Smith, G. D. meta-analysis bias in location and selection of studies. BMJ 316, 61–66 (1998).

21 Sterne, J. A. C., Egger, M. & Smith, G. D. Investigating and dealing with publication and other biases in meta-analysis. BMJ 323, 101–105 (2001).

22 Lüdtke, R. & Rutten, A. L. B. The conclusions on the effectiveness of homeopathy highly depend on the set of analyzed trials. Journal of Clinical Epidemiology 61, 1197–1204 (2008).

23 Vickers AJ, Fisher P, Wyllie SE, Rees R. Homeopathic Arnica 30X is ineffective for muscle soreness afterlong-distance runningda ran-domized, double-blind, placebo-controlled trial. Clin J Pain 1998 ;14:227e31.

24 Tveiten, D. & Bruset, S. Effect of Arnica D30 in marathon runners. Pooled results from two double-blind placebo controlled studies. Homeopathy 92, 187–189 (2003).

25 Borhöft, G. et P. Matthiessen (eds) (2011). Homeopathy in healthcare – effectiveness, appropriateness, safety, costs. Berlin, Springer-Verlag, 234 p.

26 Syndicat professionnel des homéopathes du Québec http://sphq.org/rapport-australien-un-premierrapport- dissimule-au-grand-public/

27 http://www.nhmrchomeopathy.com/the-first-homeopathy-review.html

28 Syndicat professionnel des homéopathes du Québec http://sphq.org/rapport-australien-un-premierrapport- dissimule-au-grand-public/

29 https://www.yourhealthyourchoice.com.au/news-features/science-fact-or-fiction-nhmrc-admits-they-didnot- use-accepted-scientific-methods-2/

30 https://releasethefirstreport.com/fr/lhistoire-complete

31 Les dépenses de santé en 2017 Résultats des comptes de la santé, Dree Santé Éditions 2018 »

32 Remboursement de l’homéopathie : la Haute Autorité de santé n’en veut plus - Le Point 17/05/2019

33 Les maladies iatrogènes sont les maladies générées par les médicaments. Elles sont impliquées dans environ 6 % des hospitalisations en France qui ont un coût moyen unitaire de 12000€. Sachant qu’il y a 12,6 millions d’hospitalisations par an, le budget lié aux maladies médicamenteuses serait de l’ordre de 9 milliards d’euros.
Voir : Arcizet, J. et al. Iatrogénie médicamenteuse responsable d’hospitalisation en réanimation : étude descriptive dans un centre hospitalier. Journal de Pharmacie Clinique 37, 111–120 (2018).

34 Un article de recherche fondamentale qui confirme et précise les expériences d’Aissa, Montagnier et all sur le transfert d’information via l’eau : Tang, B. Q. et al. Rate limiting factors for DNA transductioninduced by weak electromagnetic field. Electromagnetic Biology and Medicine 38, 55–65 (2019).

35 La recherche homéopathique en Inde : http://www.ijrh.org/showstats.asp?a=tc

36 https://www.hri-research.org/wp-content/uploads/2019/08/Draft-annotated-2012-homeopathy-report.pdf
37 Voir www.aton-atl@aton-atl.com