Défendons l’homéopathie

URGENCE- Pour le maintien des droits des patients-
Défendons l’homéopathie et le libre choix thérapeutique.

En 2019, à la demande du ministère de la santé, la Haute Autorité de santé conclut, après une enquête menée à la hâte et non respectueuse des spécificités de l’approche homéopathique, à une insuffisance de service rendu par le médicament homéopathique.
La ministre de la santé, Madame Agnès Buzyn, prend alors la décision du déremboursement de l’homéopathie suivant un calendrier progressif qui devrait aboutir au déremboursement complet en janvier 2021. Cette décision a été prise au mépris d’une grande partie des français qui ont recours à l’homéopathie, comme en témoigne la pétition Mon Homéo Mon Choix qui a recueilli quelques 1 300 000 signataires en quelques mois. Le gouvernement n’a pas tenu compte non plus de la tribune signée par les 45 députés de tous bords ou des milliers de lettres ouvertes des patients à nos responsables politiques.

Les conséquences de cette décision sont graves :

– Perte de l’égalité à l’accès aux soins pour tous du fait du risque important d’augmentation du prix des médicaments homéopathiques. En effet, la perte du statut de médicament remboursé entraîne une augmentation conséquente de la TVA et une libération du prix imposé.

– La spécificité "homéopathe" ne pourra plus être associée au titre de médecin pour les homéopathes à venir. Dans le même esprit, plusieurs facultés de médecine ont fermé leurs diplômes universitaires d’homéopathie. Ce qui entraînerait de facto dans les années à venir :

– La disparition de la profession de médecin homéopathe.

– Et pour les patients : une perte de liberté d’avoir recours à cette thérapeutique faute de médecins formés.

Nous, patients, Indignés

Refusons

catégoriquement la méthode et les moyens de l’enquête de L’HAS Française et ses conclusions contraires à l’expérience de centaines de millions de personnes de différents pays qui n’ont pas tenu compte de l’enquête pharmaco épidémiologiques EPI3, ni de celle qui avait été commanditée par le gouvernement Suisse dont les conclusions se sont montrées favorables à l’homéopathie du fait d’un service rendu manifeste. Personne n’a à ce jour fait la preuve de l’inefficacité de l’homéopathie comme l’a finalement reconnu après 4 années de lutte pour la transparence le gouvernement Australien.

Affirmons,

qu’à l’heure de la résistance aux antibiotiques de l’apparition de nouveaux virus et de la croissance de maladies chroniques complexe, l’homéopathie demeure une approche complémentaire et alternative dans de nombreuses maladies aigues et chroniques ainsi que dans les épidémies les plus graves.

Défendons

– Le maintien et la transmission de l’homéopathie dans le champ de la médecine. Sa disparition serait une perte de chance inacceptable sur le plan éthique pour les malades.

– Le droit à une approche thérapeutique plurielle ou intégrative ainsi qu’à d’autres alternatives en cas d’échec ou d’impasse thérapeutique.

– Le financement et la poursuite de la recherche scientifique adaptée aux spécificités de l’homéopathie du fait de son absence de toxicité, de sa dimension écologique et économique. C’est une médecine respectueuse de l’environnement !

– La place de l’homéopathie dans notre système de santé à l’instar de l’Inde où elle est la deuxième médecine après la médecine conventionnelle avec au moins 200 millions d’utilisateurs et le soutien de tous les gouvernements dans le sillage de Gandhi.

– A l’initiative de l’APMH (Association Promotion de la Médecine Homéopathique), nous avons chargé Maître William Bourdon de défendre nos droits. Avec son accord, le financement de cette action en justice ne peut se faire que grâce à la participation financière de chacun d’entre nous.

Pour participer à la défense de vos droits, cliquer sur :

https://www.okpal.com/defendre-l-ho...